Un livre consacré à la carrière de Mohamed Lamari : « Ah ya Kalbi » !
Grande figure de la musique algérienne, une voix singulière et une présence scénique sans égale, Mohamed Lamari a fait l’objet d’une biographie par Abdelkrim Tazarout. Dans un livre intitulé « Mohamed Lamari, le ténor de la Casbah », paru aux éditions « Rafar », le journaliste retrace la vie de l’illustre interprète d’ « Africa », « Djazairia » et autre « Ah Ya kalbi ».
Né en 1940 au cœur de la Casbah d’Alger d’une modeste famille issue de Makouda, petite ville de Kabylie, Mohamed Lamari vit les premières années de sa vie sans connaitre son père. Ammar Lamari, mobilisé par l’armée française est arrêté par les forces allemandes alors que le jeune Mohamed avait 1 an. Lorsque quelques années plus tard, son père réapparait dans sa vie, il est très contrarié par la carrière qu’entreprend son fils.
Pendant que les bambins de son âge usaient leurs fonds de chemise sur les bancs de l’école, le jeune Mohamed chantonnait les refrains d’Abderrahmane Aziz, Mohamed Tourie et Ali Riahi. Pris de passion pour la chanson, il participe à plusieurs concours de chant et décroche, à 9 ans, le premier prix d’un radio-crochet à Alger, puis un autre prix au cinéma Djamal (music-hall), un an plus tard.
Après une brève tentative de percer dans la comédie à l’opéra, il chante des titres de Abderrahmane Aziz sous la direction de Mustapha Skandrani. Son premier 45 tours « Ma N’sitchi » (Je n’ai pas oublié), écrit par Haddad Djillali le révèle au public et l’impose dans l’univers de la chanson algérienne. Il a alors, 16 ans.
Entre autre, le livre de 150 pages révèle la proposition qui lui a été faite de chanter en français sous le pseudonyme Harry Lami. Proposition qu’il a refusée.
En près d’un demi siècle de carrière, un répertoire de près de 400 titres, Mohamed Lamari a creusé une emprunte profonde au cœur de la musique algérienne. A 61 ans, c’est toujours avec une voix puissante de…ténor, de la fougue et une énergie débordante qu’il enthousiasme les foules.
Preuve par l’image :
Grande figure de la musique algérienne, une voix singulière et une présence scénique sans égale, Mohamed Lamari a fait l’objet d’une biographie par Abdelkrim Tazarout. Dans un livre intitulé « Mohamed Lamari, le ténor de la Casbah », paru aux éditions « Rafar », le journaliste retrace la vie de l’illustre interprète d’ « Africa », « Djazairia » et autre « Ah Ya kalbi ».
Né en 1940 au cœur de la Casbah d’Alger d’une modeste famille issue de Makouda, petite ville de Kabylie, Mohamed Lamari vit les premières années de sa vie sans connaitre son père. Ammar Lamari, mobilisé par l’armée française est arrêté par les forces allemandes alors que le jeune Mohamed avait 1 an. Lorsque quelques années plus tard, son père réapparait dans sa vie, il est très contrarié par la carrière qu’entreprend son fils.
Pendant que les bambins de son âge usaient leurs fonds de chemise sur les bancs de l’école, le jeune Mohamed chantonnait les refrains d’Abderrahmane Aziz, Mohamed Tourie et Ali Riahi. Pris de passion pour la chanson, il participe à plusieurs concours de chant et décroche, à 9 ans, le premier prix d’un radio-crochet à Alger, puis un autre prix au cinéma Djamal (music-hall), un an plus tard.
Après une brève tentative de percer dans la comédie à l’opéra, il chante des titres de Abderrahmane Aziz sous la direction de Mustapha Skandrani. Son premier 45 tours « Ma N’sitchi » (Je n’ai pas oublié), écrit par Haddad Djillali le révèle au public et l’impose dans l’univers de la chanson algérienne. Il a alors, 16 ans.
Entre autre, le livre de 150 pages révèle la proposition qui lui a été faite de chanter en français sous le pseudonyme Harry Lami. Proposition qu’il a refusée.
En près d’un demi siècle de carrière, un répertoire de près de 400 titres, Mohamed Lamari a creusé une emprunte profonde au cœur de la musique algérienne. A 61 ans, c’est toujours avec une voix puissante de…ténor, de la fougue et une énergie débordante qu’il enthousiasme les foules.
Preuve par l’image :